Là, comme ça...
Ca te prend là, comme ça.
D'un coup, d'un seul.
Dans la poitrine tout d'abord. Plié en deux, le souffle coupé.
Comme si quelqu'un appuyait dessus. Fort, très fort.
Et puis les jambes qui lâchent. Tu tombes, ta tête tourne.
Dans un ultime effort, tu jettes tes bras en avant.
Il quitte ton torse, mais continue de te tourmenter.
Tes bras fatiguent. Tu fatigues.
Tu lui cries d'arrêter, de te laisser partir. Enfin.
Tu ne sais plus, tu tentes de te débattre.
En vain. Il est partout et il n'est nulle part.
Tu as mal, d'une douleur éparse, que tu ne peux cibler précisément.
Depuis trop longtemps tu as mal, et tu n'arrives pas à t'échapper.
Les cicatrices se rouvrent, en plus des nouvelles qu'il te fait.
Gisant là, dans ton propre sang, tu comprends.
Ta tête s'écrase sur le sol: tes bras ont lâché.
L'amour peut être physique.
D'un coup, d'un seul.
Dans la poitrine tout d'abord. Plié en deux, le souffle coupé.
Comme si quelqu'un appuyait dessus. Fort, très fort.
Et puis les jambes qui lâchent. Tu tombes, ta tête tourne.
Dans un ultime effort, tu jettes tes bras en avant.
Il quitte ton torse, mais continue de te tourmenter.
Tes bras fatiguent. Tu fatigues.
Tu lui cries d'arrêter, de te laisser partir. Enfin.
Tu ne sais plus, tu tentes de te débattre.
En vain. Il est partout et il n'est nulle part.
Tu as mal, d'une douleur éparse, que tu ne peux cibler précisément.
Depuis trop longtemps tu as mal, et tu n'arrives pas à t'échapper.
Les cicatrices se rouvrent, en plus des nouvelles qu'il te fait.
Gisant là, dans ton propre sang, tu comprends.
Ta tête s'écrase sur le sol: tes bras ont lâché.
L'amour peut être physique.